5 nov. 2009

La sécurité dans la Ville de Bedford

Il y a plusieurs années maintenant, la Ville de Bedford a été contrainte de se plier à de nouveaux règlements établis par le gouvernement du Québec. Dans ces règlements, la ville devait se conformer à de nouvelles normes pour son service de police municipale ou confier son service de protection à la Sureté du Québec. Ça aurait pû coûter beaucoup plus cher, et la ville a décidé d'aller avec la sureté du Québec.

Lors d'une assemblée publique, le représentant de la Sureté nous assurait que nos policiers seraient absorbés dans leur service; que nous aurons un meilleur service; qu'il y aura toujour une présence dans la ville; qu'il pourrait y avoir plus d'une voiture présent alors que nous n'avions qu'une seule. Beaucoup de promesses.

La population sait que la vérité est toute autre, et depuis longtemps. Ils nous ignorent, et quand on les appelle, on sent qu'on les dérange. Un acte de présence de temps en temp et oups ils sont partis. On se fait dire qu'ils n'ont pas les effectifs voulus, mais rien change depuis des années.

Equipe de surveillants

Il y a quelques années, la Ville de Bedford a songé a former une équipe de surveillants de nuit. On leur aurait fourni une auto patrouille et des caméras et téléphones cellulaires. Ils auraient contacté la Sureté si quelque chose méritait une attention plus particulaire. Cela se faisait à St-Césaire.

L'idée n'a pas porté fruit, et le projet n'a jamais vu le jour. Peut-être que ça coûtait trop cher et il y avait trop de riqsue d'intervention des surveillants. De toute façon, c'est fini.

Possibilités d'aujourd'hui

Nous vivons à l'ère de la technologie. Il n'y a plus de raison de risquer des problêmes avec des surveillants dans une auto patrouille ou camion. Plus de dépenses de pétrole ou d'entretien de véhicule. Un crime peut être commis à un endroit, alors que les surveillants son ailleurs.

Aujourd'hui, on peut couvrir tout le territoire avec des caméras placées stratégiquement à très peu de frais, sans le risque d'intervention direct par des surveillants. Il y a de l'équipement qui peut filmer et enrégistrer plusieurs endroits en même temps. On peut emmagasiner ces vidéos pour très longtemps, et ils peuvent servir de preuve pour élucider des crimes commis sur notre territoire.

Ca prendrait la coopération de la Sureté du Québec. Mais l'opération consisterait principalement à enregistrer certains endroits propice aux crimes, 24 heures sur 24, 7 jour sur 7. De plus, il pourrait y avoir un groupe ou comité de bénévoles qui pourrait, à certaines heures, surveiller les caméras et appeler la Sureté (911) si quelque chose arriverait. À ces bénévoles formés, on pourrait aussi donner accès au images chez eux. Le tout serait déja enregistré. Apart le coût initiale, l'opération coûterait très peu cher, surtout à comparer à l'achat d'un véhicule, son entretien et ses employés. Si la Sureté du Québec serait intéressée, il serait possible de leur donner accès direct aussi.

Ce système de base pourrait entrainer beaucoup d'autres possibilités. Des commercants pourrait être autorisés à avoir des caméras autour de leurs édifices et être raccordées au reseau de la ville. Le système vidéo pourrait être transmis sur l'internet comme beaucoup d'autres villes, et ainsi servir de guide touristique. L'internet pourrait être installé, encore à peu de frais, à chaque endroit qu'il y a une caméra, et offrir aux touristes et citoyens l'accès. Beaucoup d'autres possibilités peuvent exister.

Qui va choisir?

Qui va choisir ce qu'il faut. Certes pas le conseil de la Ville de Bedford, ni son administration. Ils n'ont aucune connaissance dans la matière. Il faudrait engager un consultant indépendant et qualifié. Ce consultant devrait se rapporter à un comité formés de représentants de la ville, la Sureté du Québec, et des citoyens de la ville... d'autres si nécessaire. Ce consultant devrait être rémunéré pour les services qu'il rends à la ville, mais n'aura pas le droit d'être impliqué d'aucune façon dans l'achat ou la vente de l'équipement choisi par le comité. Il n'aura pas le droit de recevoir une commission ni d'autre compensation d'une tierce partie, sous peine d'une énorme pénalité.

Le rôle de ce consultant serait d'étudier les équipements disponible sur le marché, et leurs fournisseurs, de conseiller la ville via le comité de sélection, et de préparer les devis selon la sélection du comité. Le consultant pourrait aussi être appelé à instruire le conseil de ville si appelé à le faire.

Le comité de sélection, avec la Sureté du Québec, aura à étudier les endroits nécessaire pour l'installation des caméras. Les rues, parcs, écoles, églises, terrains de jeux, et autres endroits nécessaires. Ils auront la responsabilité de se familiariser avec les équipements, leurs qualités, leurs possibilités (jour et nuit), et leurs prix, et ne pas se fier uniquement au consultant. Il faut savoir quelles questions poser au consultant, quoi exiger. La compétence ça s'acquiert.

Date déterminante

Il n'y a pas d'urgence pour accomplir ce projet. Cependant on ne veut pas payer le consultant ad vitam aeternam. Il faudrait donc fixer une date pour l'accomplissement de son travail et la production de son rapport, et la détermination de sa rémunération. Ca serait le rôle du comité de poser toutes les questions pertinantes requises et soumettre des solutions au conseil de la ville.

L'administration

Le rôle de l'administration sera de trouver les fonds nécessaire à l'accomplissement de ce projet, et de préparer les règlements et resolutions nécessaire. Il faudrait savoir s'il y a des octrois fédérales ou provinciales disponible. Afin de permettre aux commerces d'avoir des caméras à l'extérieur, et d'autres citoyens aussi, il faudrait modifier le règlement de 'bunker' d'il y a quelques années.

Si on a des moyens d'un parc au centre-ville, on a les moyens de protéger nos citoyens.

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